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L'INSS demande aux individus de cotiser pour garantir leur retraite, mais que se passe-t-il en cas d'absence de cotisations ?
Il est nécessaire que chacun cotise à l'Institut national de sécurité sociale (INSS) tout au long de sa vie pour obtenir sa retraite. Ainsi, de nombreux non-contribuables s’interrogent sur leur future retraite.
Il convient de noter que la Sécurité sociale offre non seulement des prestations de sécurité sociale, mais également des prestations d'assistance. Un exemple est la Prestation de Paiement Continu (BPC), réglementée par la Loi Organique d'Assistance Sociale (LOAS).
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Cependant, même si la BPC/LOAS prévoit un salaire minimum pour les personnes âgées et les personnes handicapées de tout âge, il ne s'agit pas d'une pension. Vous comprendrez comment fonctionne cette prestation d’assistance tout au long de ce texte.
Comment fonctionne le BPC en pratique ?
Comme mentionné brièvement, cette prestation s'adresse aux personnes âgées de 65 ans et plus et aux personnes handicapées de tout âge. Cependant, ils doivent démontrer leur incapacité à gagner leur propre revenu.
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En ce sens, le revenu par habitant ne peut pas dépasser ¼ du salaire minimum, soit R$ 330. La vulnérabilité est prouvée grâce au Registre Unique (CadÚnico). Dans le cas des personnes handicapées, en plus de prouver leurs revenus, il est nécessaire de démontrer leur condition.
Avant d'accorder l'allocation, un entretien social a lieu et, ensuite, si le demandeur remplit les conditions, il percevra le montant du salaire minimum. Le BPC n'étant pas une retraite, il ne laisse pas de pension de décès et ne verse pas le 13ème salaire de l'INSS.
BPC n’est pas éternel
Pour la même raison, le BPC n’est pas non plus permanent. Si le système de sécurité sociale constate que le citoyen perçoit indûment, il suspendra la prestation. Pour éviter cela, le bénéficiaire doit continuer à démontrer à l'INSS son éligibilité à la prestation.
Par conséquent, le bénéficiaire doit mettre à jour son enregistrement CadÚnico tous les deux ans afin que le gouvernement confirme qu'il reste dans la fourchette de revenus stipulée. De plus, les personnes handicapées doivent se soumettre à la visite médicale de l'institut tous les deux ans.